Presse

Quintessence hiémale

Mais c’est aussi (l'occasion) de rêver et s’évader avec des contes poétiques mais non dénués de morales. Les nouvelles se lisent aisément, le style est fluide et agréable, propice au dépaysement. Lire l'article complet sur if is dead

Neige et brise hivernale guident le lecteur à travers les pages de ce petit recueil. Recueil, petit par la taille, mais non par la qualité car les quatre contes qu’il renferme vont vous faire pénétrer dans des lieux mystérieux, habités par la magie hibernale. Lire l'article complet sur L'autre côté du miroir

Song to the siren (anthologie La lamento des ombres)

Cécile Guillot rejoue le conte de la petite sirène avec Song to the Siren. Elle incorpore son univers et son amour pour le métal à chant féminin dans cette nouvelle délicate et mélancolique, nous rendant spectateur de l’ascension spectaculaire d’Aysun, une jeune fille mystérieuse à la voix d’or. De l'autre côté du miroir

Cécile Guillot nous plonge ici dans l’univers du Metal à voix féminine. Difficile de ne pas sentir la passion et la connaissance du sujet dans chacune des lignes de la nouvelle. Des références aux standards du genre, aux clichés associés, le connaisseur retrouvera ses marques. Et comme j’en fais partie, j’ai forcément accroché. On suit Aysun et son groupe dans l’ascension vers la gloire. Ascension qui tournera évidemment au cauchemar. L’histoire est très bien écrite entre délicatesse et mélancolie. If is dead

A l'ombre des pleurs (recueil fantastique)

Cécile Guillot allie à merveille romance, horreur, magie dans un style poétique et envoûtant, on se surprend à se mettre à la place de chaque héroïne, de vivre intensément l'histoire jusqu'au plus profond de notre être et de partager leurs sentiments aussi forts soient ils !
La plume de l'auteure à quelque chose de magique, d'addictive, qui fait qu'une fois une histoire terminée j'ai mis le livre de côté pendant un petit temps, de quoi bien imprimer l'histoire, me remettre de ce que j'avais pu vivre à travers les pages, les lignes, les mots, avant de me plonger dans un nouveau récit. Lire l'article complet sur le blog de Tsuki

Lire Cécile Guillot, c’est entrer dans son univers poétique, teinté de mélancolie, de douleur, mais aussi d’espoir. Plus qu’une lecture, c’est un voyage qu’elle nous propose, et j’ai vraiment été charmée par les textes proposés dans ce recueil de sept nouvelles aux thématiques et ambiances variées, mais toujours dans cette même cohérence d’univers. Lire l'article complet sur Vampires & sorcières

Le style de l’auteur est très doux, mais aussi très poétique. Elle fait partie de cette génération de jeunes auteurs qui non seulement manient bien notre langue mais en plus ont une écriture fluide et se lisent aisément. Lire l'article complet sur If is dead

Malgré le format qu’elle s’est imposé, plutôt court pour certains textes, l’auteure a su poser concrètement des atmosphères, grâce à un sens aigu de la description. La narration est assez stylée, avec un choix de verbes et de champs lexicaux variés et soutenus, qui rendent les textes vraiment agréables à lire, quelle que soit notre créature de prédilection..." Lire l'article complet sur vampirisme.com

L'écriture de Cécile Guillot enrobe le lecteur. Elle est faite de déliés et de ronds: dos ronds sur lesquels se dépose le poids d'une autre vie – aussi chère que la sienne et parfois davantage! –, rondes de fées où dansent des mortes au sourire pâle, rond du lasso des sentiments jeté vers un cou frêle. Elle s'avère d'une simplicité toute apparente, dans cette évidence où le récit se déroule de lui-même, confiant envers le lecteur. Et, pourtant, chaque nouvelle baigne dans cette lumière si particulière qui marque l'univers de cet auteur, une sorte de "malgré tout": "malgré tout, j'ai envie d'y croire", "malgré tout, je choisis de porter ma foi ici, en cette personne, car seule cette réponse est recevable selon mes convictions". Lire l'article complet sur le forum de l'association Transition

Et c'est sans doute l'une des grandes qualités de cet ouvrage que de ne pas sombrer dans la caricature et de laisser la part belle aux sentiments et à la poésie, ce qui n'est somme toute pas si étonnant pour une diplômée en psychologie et psychanalyse passionnée de fantastique. Sept histoires donc, à lire pour s'évader aux frontières de l'imaginaire. Lire l'article complet sur psychovision.net

Avec retard, je me permets à mon tour de donner mon avis sur ce superbe recueil... et je commence par féliciter Cécile pour nous avoir proposé de si brillantes nouvelles !
En effet, j'ai vraiment passé un très bon moment d'évasion ; j'avais déjà pu apprécier le style de Cécile avec sa nouvelle publiée dans l'anthologie Momies, empreinte d'une macabre subtilité, et là, avec A l'Ombre des Pleurs, je dois dire que je n'ai pas non plus été déçue du voyage.
Les histoires sont très bien ficelées, avec un fantastique agréablement distillé qui tire à fond toutes les possibilités offertes par la forme courte de la nouvelle. Du coup, elles passent sans problème du drame psychologique ("L'appel du loup") à l'horreur, comme dans "De larmes et de sang" ou dans une autre mesure "Nuits d'obsidienne à Montego Bay" et "Cœur de cristal" (mes préférées !), avec une chute tantôt étonnante, tantôt angoissante, mais qui, en tout cas, ne laisse pas le lecteur indifférent.
Une autre grande qualité de ce recueil est la façon dont la plupart des récits, grâce au fantastique, questionnent une réalité qui nous dépasse, je pense par exemple à "Roadways" ou à "La fille aux barbelés"...
Bref, A l'Ombre des Pleurs est un recueil très riche, tant dans la forme que dans le fond. Mon seul regret est le nombre de nouvelles, car pour moi, il n'y en avait pas assez : il m'en fallait encore !!!
Cécile, il faut absolument que tu continues à nous faire rêver... et frissonner ! Avis de Malaïka Macumi, auteur fantastique (posté sur le forum de l'éditeur)


Une petite fille si attentionnée (anthologie Momies) :

La nouvelle est brève et concise, et l'auteure parvient à donner une âme à son histoire. La trame en elle-même est bien trouvée – je l'ai pour ma part trouvée assez horrible, ceux qui me connaissent un peu ainsi que mes animaux de compagnie me comprendront d'autant mieux – et surtout très bien servie par une atmosphère morbide et délétère distillée avec brio. Dans l'ensemble, un très bon moment, et une agréable mise en bouche. Le vallon du fantastique

l'anthologie commence fort avec cette nouvelle qui met en scène une fillette et sa mère. Ophélie est une charmante petite fille pleine d'innocence qui vous surprendra beaucoup. Une ambiance dérangeante et morbide. Cette histoire fait partie de mes préférées du recueil. Ex-tenebris

Coeur de cristal (anthologie Sorcières et Sortilèges) :

Cœur de cristal de Cécile Guillot relève le dur défi de passer ensuite. La sorcellerie ici y est très païenne, très wiccanne, très Bradley aussi. De par cette approche, j’ai vite été charmée. Si le principe est classique, une jeune fille descendante de sorcières apprend seule la sorcellerie suite au décès de sa mère puis de sa grand-mère, le retournement de situation très bien construit m’a totalement convaincue. Le style limpide aidant évidemment. http://ifisdead.net/

C'est avec la nouvelle, remarquable, décidément, de Cécile Guillot (qui signe aussi la couverture, quel talent!) que je me tournerais pour conclure sur ce sujet. "Cœur de cristal", c'est le titre, nous montre une jeune fille qui croit pouvoir délivrer sa mère de la mort. Mais voilà, au bout d'un certain temps les liens familiaux importent peu… Difficile de vous en dire plus une fois encore mais ici l'auteure nous montre bien que la sorcière est celle qui n'a pas d'attache, qui peut vivre éternellement, libre de ses opinions, de sa famille et de tous les liens sociaux en général! Comme le vampire, non?! La nouvelle est courte, la chute implacable et comme la plupart des textes ici présentés, c'est beau et troublant. www.psychovision.net

Mon dernier coup de coeur va pour “Coeur de Cristal” de Cécile Guillot où une jeune orpheline descendante d’une lignée de sorcières apprend à utiliser ses pouvoirs sans penser qu’un piège est en train de se refermer peu à peu sur elle. Cette nouvelle aux accents wicca est très bien écrite, je ne m’attendais pas du tout au final qui m’a vraiment surprise … du pure délice ;) www.autrecotedumiroir.net

Si seule... (Royaume des fées, n°3):

Magnifique et poignant sont les premiers mots qui me viennent à l'esprit pour cette jolie fable (car pour moi ç'en est une)! La reprise de la phrase initiale à la fin est tout à fait judicieuse et clôt la fable de la plus belle des façons. L'illustration de Cécile rejoint complètement l'histoire. Un plus que bravo!! http://faeries.unblog.fr